Projet Répit

Le répitMême Superman ou Superwoman ont parfois besoin de prendre un moment avec leurs autres enfants  ... Ou de faire de la cuisine, du jardinage… Ou lire dans le jardin avec un café, ou se faire couler un bon bain chaud Quand on accompagne au quotidien un enfant porteur d’un trouble autistique, les parents endossent bien souvent...

Le répit

Même Superman ou Superwoman ont parfois besoin de prendre un moment avec leurs autres enfants 

 

... Ou de faire de la cuisine, du jardinage

… Ou lire dans le jardin avec un café, ou se faire couler un bon bain chaud

 

Quand on accompagne au quotidien un enfant porteur d’un trouble autistique, les parents endossent bien souvent un rôle de super héros. Dans ces situations où bons nombres de gestes de la vie quotidienne demandent une énergie décuplée, il n’est pas rare que les parents se sentent seuls et fatigués physiquement et moralement. Cette fatigue, si elle n’est pas prise en compte et ménagée, peut mener à un état d’épuisement.

 

Conscients qu’il ne nous sera jamais possible d’absorber toutes les demandes de nos listes d’attente, nous avons souhaité agir au mieux pour humaniser cette attente. C’est ainsi qu’est né le projet Répit. Il est entièrement destiné aux parents.

 

 Le répit se définit comme « un temps de rupture dans un quotidien éprouvant, inscrit dans une démarche d’accompagnement durable de l’aidant afin d’évaluer ses besoins et de répondre à ses attentes ».

Il peut y avoir différentes formes de répit.

Actuellement, notre projet répit est sous forme de cycles d’ateliers pour les parents et les familles :

  • groupes de paroles,
  • parcours « comprendre l’autisme de l’intérieur »,
  • vidéo intervention pour promouvoir la parentalité positive,
  • ateliers d’éducation thérapeutique pour parents aidants.

Le tout premier atelier a eu lieu en janvier 2024. L’objectif de ce projet-pilote est progressif : la première étape consiste à construire une expertise locale où le soutien au parent fait partie intégrante du processus de répit.

Les financements proviennent de la Fondation Roi Baudouin et du Fonds Yves Collinet.